




"Le Japon ne demande pas la permission aux marchés, il crée les conditions pour que les autres banques centrales s'ajustent à ses besoins stratégiques."


"Une hausse des taux japonais peut être la dernière secousse avant le retour global du QE, et donc le départ d'un nouveau super-cycle haussier."

L'histoire économique du Japon nous enseigne une chose fondamentale : les décisions prises à Tokyo n'influencent jamais seulement l'Asie — elles redessinent invariablement la carte de la finance mondiale.